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Dictionnaire du langage de vos dents

Estelle VEREECK
 
lundi 17 septembre 2007 par Estelle VEREECK

Dictionnaire du langage de vos dents

Estelle VEREECK

Signification précise des maux de la bouche et des dents


CARACTÉRISTIQUES


Date de parution : 2004
Éditeur  : Éditions Luigi Castelli

ISBN  : 978-2-9521589-0-9
Nb. de pages  : 368 pages
Dimensions  : 230 x 170 mm

Nous remercions l’auteur et les éditions Luigi Castelli de nous avoir autorisé à référencer ce livre et à reproduire l’introduction


Descriptif


Les maux de la bouche sont les plus fréquents : troisième fléau mondial d’après l’OMS ! Cela mérite qu’on se pose des questions… Quelles que soient les vôtres, vos dents ont la réponse ! Leur langage est d’une richesse et d’une vérité qui n’a pas fini de vous étonner.

Le dictionnaire est l’ouvrage le plus complet et le plus précis jamais proposé au public, une oeuvre fondatrice dans un domaine jusqu’à présent quasi désert. Il traite de la signification des problèmes, bénins (salive), graves (édentation) ou courants (carie). Il englobe tout ce qui a trait aux dents (lésion, forme, éruption, chute, etc.) et à la cavité buccale : bouche, langue, lèvres, gencive, palais, salive. Plus de 1 000 entrées !

Après lecture, impossible de les voir autrement que comme des messagers du corps à l’esprit, de l’inconscient au conscient.

Le dictionnaire d’Estelle Vereeck est le fruit de 15 années d’observations minutieuses dans le cadre de son cabinet dentaire et d’une approche personnelle de la nature humaine qui s’appuie sur une méthode originale, fondée sur aucune autre. Le résultat est un ensemble d’informations d’une précision et d’une exactitude proprement stupéfiantes


L’auteur
Estelle Vereeck


Estelle Vereeck, docteur en chirurgie dentaire, offre un incroyable dictionnaire. Qui aurait cru que bouche et dents parlent avec tant d’acuité ?

Lauréate de la faculté de médecine de Nancy, Estelle Vereeck, après 15 années de pratique de la chirurgie dentaire, se consacre désormais entièrement à la recherche, à l’écriture et aux conférences.


Sommaire
Éléments pour s’orienter


Introduction (pages 7 à 10)

Sa lecture, essentielle, révèle l’état d’esprit du dictionnaire et en apprend beaucoup sur les processus en jeu.

Présentation du dictionnaire (pages 11-12)

Informe sur les codes utilisés, les choix, les numéros des dents.

Tableaux et schémas de référence (pages 13 à 15)

Permettent un accès rapide aux principales rubriques. Il est conseillé de photocopier le tableau page 13 et de s’en servir comme marque-pages (un marque-pages spécialement conçu est disponible gratuitement et sur simple demande à l’éditeur).

Partie alphabétique (pages 17 à 247)

À consulter comme n’importe quel dictionnaire. Si vous n’avez pas le mot adéquat, les renvois vous permettront de le trouver.

La personne qui souhaite se faire une idée générale pourra se contenter dans un premier temps de lire les introductions des grands problèmes : abcès, carie, couronne, déchaussement, fracture, mâchoire, obturation (« plombage »), occlusion, orthodontie, grincer des dents, usure, etc. On peut également se servir des entrées rassemblées page 15.

Liste de renvois à partir du mot « dent » (pages 249 à 255)

Permet de trouver les rubriques à partir du langage courant, comme « dent qui fait mal », « dent qui bouge », etc.

Partie dent par dent (pages 257 à 352)

Accéder à cette partie suppose d’avoir lu une rubrique qui y renvoie.

Table des matières (pages 353 à 364)

Sa consultation permet de se faire une idée du contenu et de découvrir des rubriques auxquelles on n’aurait peut-être pas pensé.


Introduction


La reproduction de cette introduction n’est pas libre de droit

Dans ce dictionnaire, vous allez découvrir comment les dents expriment nos manques ou nos difficultés dans un domaine particulier. De la banale carie à la spectaculaire « chique » qui déforme la joue, chaque atteinte témoigne avec précision de l’émotion qui nous habite, du conflit non résolu qui nous ronge ou du vécu qui demande à être exprimé.

Les dents sont les trente-deux lettres de l’alphabet personnel que l’inconscient utilise pour transmettre ses messages. Six de plus que notre véritable alphabet ! La variété des atteintes (fracture, usure, dent dévitalisée, etc.) est un langage d’une richesse dont la précision vous étonnera. Chaque dent est une facette de la personnalité, représente un domaine particulier de notre vie (affective, sociale, familiale, etc.). La dent touchée est une partie que nous refusons d’habiter. Pourquoi un tel rejet ?

La finalité d’une maladie est de soulager une souffrance psychique. Qu’il touche la dent, l’os qui la soutient ou la chair qui l’entoure, le mal tente à sa façon de vous aider. Confronté à la souffrance, le corps propose sa solution : détruire la dent afin d’éliminer la mémoire qu’elle porte. Au regard de l’inconscient, l’important est d’évacuer la charge psychique pour soulager la personne, quitte à générer une douleur physique. L’inconscient ne résout rien. Il sacrifie la dent pour préserver l’individu. Les caries, maladies parodontales et autres atteintes obéissent à cette logique. Une logique qu’il vaut mieux ne pas ignorer.

Ladent, structure minéralisée, est constituée de cristaux. Le cristal fixe le vécu, le « cristallise ». Mémoriser est une propriété commune au système nerveux et à l’organe dentaire. Rien d’étonnant, puisque dent et cerveau ont la même origine embryologique. Durant la période de formation de la dent, le germe dentaire enfoui dans l’os se comporte comme une cire vierge où s’imprime l’intériorité (ou vécu réel) de l’enfant. La période qui entoure la phase d’éruption de la dent est également propice à l’inscription de vécus négatifs. Tout au long de la vie, les cristaux dentaires continuent d’enregistrer les perturbations psychiques qu’ils reçoivent.

Les acides produits par les bactéries à partir des sucres de l’alimentation dissolvent le cristal dentaire. En libérant les souffrances figées dans la dent, ils délivrent l’individu d’un poison psychique. La carie est le court-circuit spontané qui détruit les cristaux porteurs de souffrance.

Contrairement aux idées reçues, la dissolution de la dent au contact des acides issus des sucres n’est pas automatique. Manger sucré ne génère pas nécessairement des caries. La dent est un organe qui vit et respire à sa manière ; à l’état physiologique (dent saine), elle est parcourue par un flux qui va du centre (ou nerf) vers la périphérie. Ce flux dentinaire la reminéralise et la protège en permanence. Une dent saine est imperméable aux acides. L’immunité contre les caries est naturelle. Des expériences scientifiques ont démontré qu’un stress prolongé annule et même inverse le flux. La dent devient alors perméable aux acides, une carie se forme. L’élément déterminant dans la genèse d’une lésion dentaire n’est pas l’alimentation mais le niveau de stress ou de souffrance psychique de la personne.

Ce n’est pas la carie qui choisit la dent mais la dent qui choisit la carie. Les bactéries sont des agents nettoyeurs au service de l’inconscient. Simples exécutantes et non causes de la carie, elles soulagent un système qui n’en peut plus de souffrances accumulées. Par leurs acides, les bactéries opèrent à leur façon la transformation ou digestion d’un vécu douloureux que la personne na pas faite et libèrent le corps d’une charge intolérable. Les bactéries nettoyeuses ont pour finalité de soulager la personne, même sile prix à payer est une rage de dent, par exemple. Dans le cas de l’abcès, le processus est analogue. La surinfection bactérienne permet d’évacuer le trop-plein enkysté. De même, la modification de la flore bactérienne au niveau de l’os et de la gencive conduit à l’élimination de la dent par le déchaussement. Carie, abcès ou autre, toute lésion présente deux phases. Dans la phase d’accumulation, la dent semble saine mais la charge négative augmente peu à peu. Le seuil de saturation atteint, la mémoire de l’ordinateur dentaire explose, vient alors la phase de libération. La carie apparaît, l’abcès jusque-là silencieux se réveille, etc.

La phase d’accumulation peut durer des années ou une vie entière. Quant à la phase de libération, elle survient parfois au moment où la personne pensait avoir résolu le problème, après un travail sur soi par exemple. La dent montre la résistance profonde de la personne qui s’est approchée d’une souffrance sans pouvoir la reconnaître. Le fait est là : une partie d’elle-même refuse de creuser plus loin. La carie le fait à sa place et achève le travail de libération.

Le processus de guérison ne peut se limiter à l’indispensable élimination des bactéries (antibiotiques, nettoyage de l’infection). Le travail de fond qui devrait accompagner tout soin dentaire est la transformation et la libération du vécu négatif accumulé dans la dent. Si la guérison profonde n’est pas faite, le processus carieux ou infectieux reprend. C’est la traditionnelle récidive de carie, souvent imputée au travail incomplet du praticien qui n’a pas tout nettoyé. Mais la cause première est un travail de nettoyage intérieur non accompli par le patient lui-même.

L’acide produit par les bactéries joue le rôle d’un révélateur photographique. Par réaction chimique, il fait apparaître la cartographie de l’inconscient. Il dessine la réalité de notre paysage dentaire avec ses zones résistantes et ses zones fragiles. Outre révéler les failles et les manques, le langage des atteintes des dents et de la bouche oriente vers la guérison. La lésion indique avec précision le type de travail à accomplir, dans quel domaine et par rapport à qui. Par exemple, un abcès sur l’incisive latérale supérieure gauche indique une colère ancienne liée à l’impossibilité de communiquer avec le père.

Le travail consiste à vider son sac en exprimant ce qu’on n’avait jamais osé dire, puis à pardonner. Le déchaussement traduit une capitulation, l’aphte une ulcération, une fracture exprime le sentiment d’être brisé, etc.

Le dictionnaire est un outil de lecture fiable et précis de la signification des maux de la bouche et des dents : il est une pierre fondatrice dans un domaine jusqu’à présent quasi désert. Il propose des clés, point de départ du chemin personnel. Sa consultation aide à découvrir le vécu associé au problème et à le verbaliser. L’ouvrage invite chacun à se dire sa vérité profonde afin de se soigner en pleine conscience, base de toute guérison.

Note  : émanations directes de l’inconscient, les dents expriment la vérité du corps, qui peut différer de celle qu’on imagine. Avant de conclure, il est bon de laisser le temps à l’information de suivre son chemin. Une vérité difficile à entendre semble parfois une évidence quelques jours plus tard. L’un de vos amis ne s’est-il jamais « braqué » lors d’une attaque de front avant de tomber d’accord avec vous par la suite ?

La reproduction de cette introduction n’est pas libre de droit. Merci aux Éditions Luigi Castelli de nous avoir autorisé à la reproduire.


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