Cet article (en anglais) montre encore une fois a quel point l’imagerie cérébrale est fragile pour affirmer des certitudes.
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Son point de départ est une interrogation du Dr Edward Vul après la lecture d’une étude qui prétendait que l’activité cérébrale déterminée par la quantité d’oxygène (BOLD) de certaines régions permettait de prédire la vitesse de sorite du patient de l’hopital plusieurs heures après l’étude.
Apèrs plusieurs années de recherches et des méta analyses poussées , il semble que le bruit du signal soit tellement fort dans ies IRMf du cerveau complet que l’effet taille explique la majorité des corrélations trouvées et que les faux positifs excédent souvent les vrais positifs.
La encore plutôt que d’accuser les chercheurs de vouloir publier des résultats significatifs à tout prix, il semble que le manque de moyens pour conduire des études à large échelle en se concentrant sur uniquement quelques régions de cerveau (donc moins intéressant) semble le principal biais. L’examen clinique à encorde de beaux jours devant lui.