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Descriptif

L’interrelation structure/fonction, la capacité d’autorégulation du corps et de la globalité sont trois grands principes qui fondent la réflexion et la pratique ostéopathique.
Ils participent à la définition de cette thérapeutique et orientent l’assimilation et l’utilisation des connaissances anatomiques, physiologiques ou biomécaniques par le praticien.
Parmi eux, le concept de globalité, en raison de son apparente simplicité, est le plus mal défini. Ses acceptions vont d’une simple vision de l’interdépendance des parties du corps à une appréhension par le praticien d’un patient, partie de l’univers, et constitué d’un corps et d’un psychisme qui s’interinfluencent. Autant de définitions différentes qui trahissent le flou de ce concept et donc des pratiques qui s’en réclament.
Au travers d’une études des textes de Still, Littlejohn et Sutherland, et de rencontres avec des ostéopathes d’aujourd’hui, le concept de globalité est mis en question par l’auteur pour qu’apparaisse un véritable sens. Celui-ci se révèle riche et complexe, éclairant la pratique ostéopathique, son développement et la multiplicité actuelle de ses formes d’application. tab Sommaire

L’auteur

Marie Eckert est diplômée d’ostéopathie, Licenciée de psychologie et a un DEUG de philosophie

Sommaire

Première partie

Historique du concept

1. L’universalité d’Andrew Taylor Still
2. John Martin Littlejohn et l’importance des interrelations
3. William Garner Sutherland : retour à l’inconnaissable premier

Deuxième partie

Le concept de globalité aujourd’hui

1. Propos d’ostéopathes
2. Débats actuels et éclairage historique

Troisième partie

Une totalité unifiée

Annexe 1 - Approche historique du mécanisme et du vitalisme
Annexe 2 - Courants scientifiques contemporains