D’après Lynne Sneddon, chercheuse à l’Université de Liverpool, la réponse est "oui" (étonnamment), et d’une façon très proche de la notre.
Rapportée par sciencepost.fr, son étude salutaire clôt le débat étrange qui semblait avoir cours dans la communauté scientifique pour savoir si oui ou non les poisson disposaient d’une nociception.
Confrontées à une expérience douloureuse, ces derniers réagissent comme les mammifères en évitant la zone de leur bassin dans laquelle ils avaient reçu une décharge électrique, ou en ne s’alimentant plus après avoir été attrapés par un crochet. Ils réagissent même positivement à la prise d’antalgique !
Comme le souligne l’article de sciencepost.fr, il devient difficile d’un point de vue éthique, à la lumière de ces résultats, de perpétuer les mêmes techniques de pêche et de mise à mort.