Cet article de synthèse nous pose la question de savoir si c’est la douleur chronique qui influence la cognition ou le contraire.
Il montre par exemple que les personnes ayant un rejet ou une attraction pour des mots ayants un lien avec la douleur (déchirement, souffrir...) ont plus de chance de développer une douleur chronique que les autres. Il serait donc possible de prédire un passage a la chronicité avec ces tests cognitifs , à moins que ce soit le passage à la chronicité en cours qui modifie le biais attentionnel ?
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Biais attentionnel chez le patient douloureux chronique. Nature, évaluation et intérêts clinique et thérapeutique
jeudi 7 avril 2016
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Voir en ligne : Biais attentionnel chez le patient douloureux chronique. Nature, évaluation et intérêts clinique et thérapeutique
William Addey
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