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Ostéopathie et Homéopathie n’ont pas perdu la mémoire

Antoine ROBERT - IO Rennes 2015
 
mercredi 2 décembre 2015 par Antoine ROBERT

Ostéopathie et Homéopathie n’ont pas perdu la mémoire

Antoine ROBERT - IO Rennes 2015


Mémoire réalisé en vue de l’obtention du diplôme d’Ostéopathe - Année Universitaire 2014/2015 - I.O. Rennes
Tuteur Pédagogique : Van-Nam CHAUVEAU Ostéopathe D.O. et Bernard SAINZ

Le Site de l’Ostéopathie remercie Antoine Robert et I.O. Rennes de l’avoir autorisé à publier lce mémoire


Résumé

L’objectif de ce mémoire est de comprendre en quoi l’ostéopathie et l’homéopathie peuvent être complémentaires en mettant l’accent sur les points partagés par les deux thérapies. En partant de leurs origines, de la philosophie de leur créateur et de leurs principes de base, nous avons pu lister un certain nombre d’analogies. Nous avons aussi tenté d’établir une relation entre leur principe de mémorisation : tissulaire en ostéopathie, basé sur la mémoire de l’eau en homéopathie. Ainsi, nous avons essayé de démontrer que, si une information pouvait être stockée dans l’eau, elle pouvait également l’être dans l’eau des tissus. Cette conclusion nous amène à penser que deux thérapies, naturelle et holistique, peuvent se compléter pour rendre plus efficace le traitement du patient. Cette constatation, purement théorique, mériterait d’être étudiée dans la pratique.
Mots clé : ostéopathie, homéopathie, complémentaire, philosophie, principes, mémoire.


Abstract

The objective of this thesis is to understand in which way osteopathy and homeopathy can be complementary focusing on points shared by both therapies. From their origins, their creator’s philosophy and their basic principles, we could point out some analogies. We also tried to establish a relationship between their principles of memorising skin tissues for osteopathy, and water memory for homeopathy. Thus, we tried to demonstrate if information could be stored in water, it also could be in the water of the skin tissues. We can conclude that both therapies, natural and holistic, can be complementary to make the treatment more efficient for the patient. This observation, purely theorical, would deserve to be studied while being practised.
Key words : osteopathy, homeopathy, complementary, philosophy, principles, memory.


Sommaire

Remerciements
Sommaire
Préface
Introduction
1. L’ostéopathie tisse sa toile
 1.1. Un peu d’histoire
 1.2. Les grands principes de l’ostéopathie
 1.3. Approche tissulaire de l’ostéopathie
 1.4. La mémoire tissulaire
 1.5. L’eau et l’ostéopathie
 1.6. Conclusion
2. Similia, Similibus, Curantur : Principe de l’homéopathie
 2.1. Définition
 2.2. Modes d’administration et façons de pratiquer
 2.3. Principes
 2.4. L’eau est pleine de ressources
 2.5. Conclusion
3. Homé-eau-stéo-pathie
 3.1. Vrais ou faux jumeaux
 3.2. La mémoire dans la peau
 3.3. Conclusion
Conclusion
Références et Index
 Table des Figures
 Références Bibliographiques
 Table des Matières
 Résumé


Lire le mémoire de Antoine Robert

  • Ostéopathie et Homéopathie n’ont pas perdu la mémoire
    Antoine ROBERT - IO Rennes 2015
    Ostéopathie et Homéopathie n’ont pas perdu la mémoire

Préface

Quand nos chemins se sont croisés, j’ai tout de suite perçu chez l’auteur du présent ouvrage, et dès notre toute première rencontre, un regard frétillant, pétillant et un enthousiasme des plus enjoués qui laissaient présager que cet encore tout jeune homme ferait très vite partie de l’élite de sa corporation.
D’autant que sa silhouette d’une rare élégance, toute naturelle, ne saurait être un obstacle à la rapide consécration que j’attends de sa personne dans le très prochain exercice de son activité professionnelle.
Et c’est sans la moindre réticence, il va de soi, que j’ai volontiers accepté la mission à laquelle j’étais convié, d’être l’un de ses tuteurs, voire de ses mentors.
D’autant que je porte grand intérêt au thème développé par Antoine en son mémoire, étant moi-même impliqué actuellement à la rédaction d’un livre intitulé “Vivre jeune jusqu’à 120 ans“ que j’entends éditer sans tarder.
Ce remarquable et audacieux mémoire s’inscrit dans le contexte fort particulier de notre époque, caractérisée par l’apparition soudaine d’un invraisemblable tourbillon de hautes technologies, en pleine génération Internet, à la fois vertigineux et fascinant. Toutefois, par un effet pervers, cette société en pleine effervescence a engendré de très préoccupantes maladies “environnementales“ dites de la “civilisation“. Et le pire à craindre, c’est que celles-ci pourraient ne pas seulement se limiter à notre propre espèce.
Ce brillant exposé sur les vertus thérapeutiques complémentaires de deux médecines alternatives, agissant en synergie, l’ostéopathie et l’homéopathie, revêt une importance d’autant plus capitale qu’il devient urgent de remettre sérieusement en question un grand nombre de préceptes aberrants, qui pourtant font école, en matière de santé et de protection de l’environnement.
A ce titre, il convient de constater que plus les instances scientifiques et médicales, en charge de la lutte contre ces effrayantes maladies de la civilisation, et ce, à l’échelle de la planète, reçoivent de subventions aux fins de les éradiquer, souvent des sommes colossales, plus leur nombre s’accroît dans des proportions considérables. Il en est ainsi, tout particulièrement, pour le cancer. Où est l’erreur ? Ne faut-il pas largement en débattre, dès lors que nous sommes tous concernés, praticiens et patients ? En tout en état de cause, il y a lieu de sérieusement s’interroger ? Surtout qu’il ne peut échapper à quiconque que la santé est devenue un gigantesque marché.
Au demeurant, de nombreuses publications scientifiques de très notoires chercheurs, notamment en biologie cellulaire, révèlent que les tumeurs cancéreuses se nourrissent essentiellement de glucose et de protéines animales.
La démonstration de l’extrême avidité que présentent les cellules cancéreuses à l’égard du glucose est parfaitement connue par les radiologues. En effet, dans une des imageries dont ils font grand usage, la Tomographie par Émission de Positons au 18 Fluoro-Désoxy-Glucose (TEP-FDG), ils injectent dans l’organisme du patient cette molécule de glucose marquée par un isotope radioactif, capable d’émettre un rayonnement. Grâce à une caméra à positons située autour du patient, un traitement informatique permet d’enregistrer ces émissions et de les retranscrire en images en trois dimensions. Ainsi, cette technique apporte, filmée par caméra, la preuve biologique et métabolique que les cellules cancéreuses se précipitent sur le carburant-glucose qui leur est apporté, et dont elles raffolent, afin de s’en nourrir et de se multiplier.
Très curieusement aucun oncologue ne tire la moindre conclusion de telles observations. Pourquoi ? En outre, de multiples recherches, toujours issues de la biologie-biochimie, font état du rôle essentiel de l’équilibre acido-basique sanguin (homéostasie du pH). Que son hyperacidité est l’une des causes principales de la plupart des maladies, notamment du cancer. Le pH du sang varie entre 7,38 et 7,42 au repos chez l’homme normal, des pH inférieurs à 7 et supérieurs à 7,8 étant incompatibles avec la vie. Ces mêmes chercheurs ont également pu caractériser que la surconsommation d’aliments sucrés, de laitages et de protéines animales provoquait une hyperacidité du pH sanguin et qu’il s’agissait de l’environnement de prédilection pour que les tumeurs cancéreuses prolifèrent. Et que celles-ci ne pouvaient apparaître dans un milieu légèrement plus alcalin. D’autres publications font état qu’une particule cancéreuse est présente durant 5 à 6 ans dans l’organisme avant de subitement se développer, pour une raison dans l’état actuel de nos connaissances qui nous échappe. Étant précisé que durant cette période, aucune imagerie n’a la capacité de les détecter.
Certains auteurs affirment qu’il suffirait d’une modification de notre mode de vie alimentaire de quelques mois seulement, et donc d’alcanisation du pH sanguin, pour que de telles particules se nécrosent. Il s’agirait de médecine préventive.
Aucun service hospitalier, spécialisé en cancérologie, ne porte la moindre attention à de telles considérations physiologiques. Pourquoi ? Si l’on s’en tient à ces considérations, tout du moins à cette absence de prise en considération par la lutte anti-cancer des éléments précités, la porte est ouverte à de nombreuses autres interrogations. Ainsi, dans l’hypothèse où un laboratoire pharmaceutique découvrirait une substance qui aurait la faculté d’anéantir, en une seule administration, n’importe quelle tumeur cancéreuse, et dont le coût serait dérisoire, quel serait le devenir d’un tel remède miracle ? Il fait froid dans le dos de conclure à l’évidence qu’il ne serait jamais commercialisé. Et pour cause, il ne pourrait être le support d’aucun profit financier. Il provoquerait nécessairement un séisme doublé d’un tsunami et l’indécente faillite de la plupart des fabricants de chimiothérapies.
Tous les patients fortunés atteints d’une grave maladie adhèrent pleinement à cette appréciation que ce n’est aucunement le capital financier le plus important dans la ... vie, mais le capital-santé.
Encore faut-il savoir le préserver, voire le renforcer. Il s’agit d’une notion prioritaire dans le domaine de la santé que personne ne peut valablement contester, et pourtant, aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, la médecine dite moderne ne s’en préoccupe nullement. Un rapide rappel de l’évolution de notre espèce s’impose.
Depuis la découverte dite de Toumaï, un crâne fossile de primate découvert en 2001 au Tchad, lequel est considéré comme appartenant à l’une des premières espèces de la lignée humaine de bipèdes, il est établi que le genre Homo (Homme) existait déjà il y a environ 7 millions d’années.
De sorte que nos ancêtres ont vécu, en tant que nomades durant des millions d’années, de cueillettes, essentiellement de fruits, mais aussi de plantes et légumes sauvages. Auxquels se sont ajoutées progressivement quelques protéines animales, viandes et poissons, issues de la chasse et de la pêche. A noter toutefois, et il s’agit d’une importance majeure, que les animaux ne se nourrissaient à l’époque que de végétaux. Ainsi, les protéines animales consommées jadis étaient d’une toute autre composition nutritive que celles provenant d’animaux élevés de nos jours en “batterie“.
Puis l’homme s’est sédentarisé, mais il n’y a seulement que 10.000 ans. C’est le début de l’agriculture et de l’élevage.
Enfin, la très prolifique industrie agro-alimentaire, de même le colossal marché des laboratoires pharmaceutiques tout-puissants, sont apparus, quant à eux, il n’y a que 40 ans.
Et les Organismes génétiquement modifiés (OGM) datent d’environ 15 ans. A toutes fins utiles, il demeure fort troublant de relever qu’en 2013 le marché mondial du médicament a été évalué à environ 639 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En comparaison, toujours en 2013, dans les autres activités, la 1ère entreprise mondiale, laquelle commercialise du pétrole, ne génère que 400 milliards d’euros de chiffre d’affaires… !!! Moralité : la santé, tout du moins la dégradation de notre santé, n’a pas de prix.
Par ailleurs, la protection de l’environnement est devenue un enjeu majeur à l’échelle de la planète, mais seulement depuis une décennie. Notre espèce a en effet réussi à mettre en état de souffrance un être vivant, dont nous sommes en quelque sorte les parasites : la Terre. En provoquant, outre bien d’autres pollutions, ce célèbre “trou dans la couche d’ozone“ de la stratosphère. Étant précisé que la couche d’ozone revêt un rôle primordial, elle absorbe en effet le surplus de rayons ultraviolets (UV-B) nocifs à toute forme de vie animale et végétale.
Cependant, les mesures préconisées sont contradictoires. D’un côté, il est mis en oeuvre des moyens pour lutter contre la dégradation de la couche d’ozone, et d’un autre côté, de nombreuses nations autorisent la culture de plantes génétiquement modifiées. Alors qu’aucun scientifique ne peut encore à ce jour se prononcer sur l’absence de risques potentiels, à moyen et long terme, qu’elles peuvent présenter pour la santé et l’environnement, en raison notamment de la présence de certains gènes employés dans leur conception qui n’ont jamais été présents, auparavant, dans la chaîne alimentaire. Il n’est pas exclu que leurs consommateurs s’exposent à ce que leur patrimoine génétique soit, in fine, modifié avec toutes les conséquences de dysfonctionnements biologiques susceptibles d’en résulter. Le principe de précaution aurait dû s’appliquer, mais il n’en a rien été. L’aspect financier de certaines firmes a prévalu.
Il en est de même de la dangerosité de l’amiante et des métaux lourds. Il faudra une quarantaine d’années de procès pour qu’en France les pouvoirs publics et l’autorité judiciaire admettent le lien entre l’inhalation de particules d’amiante et de nombreux cancers et les reconnaissent comme 1ère cause de décès en tant que maladies professionnelles. Il est aujourd’hui procédé au désamiantage des bâtiments.
Le mercure sera interdit en 1999, notamment dans la fabrication des thermomètres. Lors d’une interview en mars 2008, le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008, dénonce les pathologies qu’il provoque, articulaires, cardiaques, cancers, troubles neurologiques, dont les maladies d’Alzheimer et de Parkinson. Le plomb, bien qu’interdit depuis 1948 dans les habitations, il ne sera procédé à sa suppression (peintures et canalisation) que ces toutes dernières années. Les “plombages“ de dents, en dépit de leur appellation, étaient en réalité des amalgames de mercure. La plupart des dentistes acceptent volontiers d’en faire l’extraction désormais. En revanche, les vaccins qui renferment une forte concentration de mercure et d’aluminium ne font l’objet de nulle interdiction. Bien au contraire, la vaccination demeure obligatoire en France, alors qu’elle ne l’est plus dans la plupart des pays membres de l’Union européenne. A cet égard, l’État a été récemment condamné à verser près de 2,4 millions d’euros à une ancienne infirmière ayant contracté une sclérose en plaques après un vaccin contre l’hépatite B. De nombreuses autres victimes ont été indemnisées pour les mêmes faits. Comment comprendre qu’une même substance, le mercure, est interdite dans certains secteurs, alors que dans d’autres, on l’administre à l’ensemble de la population sans même son consentement ?
Enfin, il est grand temps de s’interroger, de surcroit, sur le troublant concept des traitements médicamenteux, tout particulièrement de ceux, afférents aux maladies chroniques, préconisés par la médecine doctrinale allopathique. Celle-ci se contente en effet de n’en traiter que les symptômes. Jamais la cause. De sorte que l’objectif visant la guérison fait totalement défaut. Une telle pratique est conforme à la déontologie médicale entérinée par l’Ordre des médecins qui prévoit une obligation de moyens mais pas de résultats. Cette observation ne saurait être regardée comme une insulte et une critique injustifiée à l’encontre de l’allopathie. Il s’agit d’une évidence incontestable. D’ailleurs très édifiante. Ainsi, dans les syndromes articulaires, seuls les deux symptômes constamment présents, l’inflammation et la douleur, font l’objet d’une prise en charge thérapeutique. Et il n’est prescrit que des substances chimiques, bien évidemment souvent fort toxiques. Certains scientifiques crient haut et fort à l’imposture, dès lors qu’aucun moyen n’est vraiment mis en oeuvre afin de guérir ces malades, l’objectif inavoué et inavouable étant de les assister médicalement, toute leur vie durant. Et ainsi les réduire à devenir de simples consommateurs de molécules chimiques, jusqu’à leur dernier soupir.
Un des paradoxes en matière de santé résulte de ce que, plus la prestation de l’exercice médical est médiocre, plus les laboratoires pharmaceutiques s’enrichissent.
C’est en de telles conditions que les maladies iatrogènes (induites par les médicaments) et les maladies nosocomiales (infections acquises uniquement au cours d’un séjour hospitalier) se sont grandement multipliées. Dans un silence assourdissant. Elles n’ont été recensées que très récemment. Les chiffres annuels annoncés sont effrayants : 750 000 pour les premières, dont 8 000 décès, 140 000 pour les secondes, dont 14 000 morts.
Surtout si l’on tient compte du fait que le nombre réel de ces affections est toujours nettement supérieur aux chiffres officiellement déclarés.
A titre de comparaison, 3 300 personnes ont été victimes d’accidents mortels sur la route en 2014. Et, c’est à juste titre que les pouvoirs publics procèdent à de constantes campagnes de sensibilisation pour tenter de les réduire. Force est de constater que ce n’est nullement le cas quand il s’agit de la mortalité, à leur corps défendant, des usagers de produits pharmaceutiques. Aucune information de prudence n’est véhiculée à leur endroit
par ces mêmes pouvoirs publics.
Revenons au mémoire et au téméraire sujet abordé visant la “mémoire de l’eau“ qui est une grande première en ostéopathie, voire même en homéopathie. Grand bravo à Antoine de ne pas avoir hésité à l’insérer dans son ouvrage.
La publication en 1988 des travaux de Jacques Benveniste dans la très notoire revue scientifique anglo-saxone “Nature“, l’une des plus anciennes et des plus réputées au monde, a eu l’effet d’une bombe dans le microcosme scientifique. Ce fut une véritable révolution. Ce médecin immunologue, chercheur à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), fait en effet état d’une étude expérimentale selon laquelle l’eau qui a été en contact avec certaines substances conserve une empreinte des propriétés de celles-ci, alors même qu’elles ne s’y trouvent plus matériellement. Tout du moins au regard des méthodes de détection actuelle.
Cette thèse a entrainé de nombreuses polémiques dès lors qu’elle validait scientifiquement le principe des hautes dilutions et dynamisations homéopathiques établi, dès 1810, par Samuel Hahnemann, le fondateur de l’homéopathie, lesquelles sont considérées d’autant plus actives qu’elles sont fortement diluées. Il faut noter qu’après chaque dilution, il est impératif de secouer le récipient un certain nombre de fois, ce sont des succussions dite dynamisations qui provoquent un choc par frottement des molécules, afin d’en extraire une autre énergie sous forme d’ondes électromagnétiques spécifiques de la substance. Ainsi, une dilution en 9 CH (9ème dilution Centésimale Hahnemannienne) ne renferme nulle trace de la substance initiale, tout du moins sous sa forme moléculaire. Toutefois, le Professeur Luc Montagnier, lauréat du Prix Nobel de médecine en 2008, déjà cité précédemment, a reproduit des expériences similaires et confirme le bien-fondé de l’étude de Jacques Benveniste. Il reconnait que l’eau est capable de conserver une empreinte électromagnétique résiduelle de la molécule d’origine.
L’expérience qui suit, très facile à réaliser, en est une parfaite illustration. Il suffit de préparer une dilution korsakovienne en 9ème centésimale (du nom d’un homéopathe russe, Seman Korsakov). Contrairement à la technique de dilution de Hahnemann dans laquelle on change de flacon après chaque dilution, dans celle de Korsakov, les dilutions se font dans le même flacon. Il convient de verser dans un tube à essai 1ml de pétrole et y adjoindre 99 ml d’eau bi-distillée et on procède aux succussions décrites ci-avant. On obtient une dilution au centième. En reproduisant cette opération à 9 reprises, on accède à une dilution en 9ème centésimale dans laquelle il ne peut plus être identifié la moindre molécule de pétrole. Pourtant si vous vous approchez du tube, celui-ci sent toujours le pétrole. Dans le cas présent, la capacité olfactive d’un de nos cinq sens s’avère plus performante que les analyses toxicologiques les plus pointues. C’est énorme. Le simple odorat permet de caractériser la substance d’origine dont il a été fait usage. Après administration d’un tel remède homéopathique, notre organisme devrait pouvoir en faire tout autant.
Il résulte de l’ensemble des observations qui précèdent que les médecines douces, dites alternatives et désormais médecines non-conventionnelles, selon la terminologie des dernières directives européennes, ont forcément un bel et grandiose avenir devant elles. Puissent leur pratique te permettre d’accéder, mon petit et déjà grand ANTOINE, au privilège qui suit et qui n’a pas de… prix, exprimé en cet adage : “Quand il y a passion, rien n’est travail“.
Bernard SAINZ


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