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Une philosophie de l’ostéopathie : ce que doit connaître l’ostéopathe

Tinturier C. - Mémoire réalisé en vue de l’obtention du diplôme d’Ostéopathe D.O.
 
jeudi 10 décembre 2015 par Claude Tinturier

Tinturier Claude - Une philosophie de l’ostéopathie : ce que doit connaître l’ostéopathe  :

Nous présentons ici un long article de notre confrère suisse Christian Tinturier, DO, particulièrement intéressant parce qu’il résume non seulement ce que l’ostéopathe doit connaître, mais encore l’ensemble du champ philosophique ostéopathique, avec un esprit critique sur le champ des connaissances


Résumé


L’OSTÉOPATHIE

- vise à apporter une solution efficace à la totalité des problèmes de santé faisant partie des affections fonctionnelles. Celles-ci correspondent à des affections sans changement de nature de tissus ou destruction de la matière mais ne peuvent être réduites aux maladies psychosomatiques.
- n’a aucune prétention thérapeutique face aux problèmes dépendants de modifications de la nature des tissus ou de destruction de ceux-ci. Elle utilise à cet effet un diagnostic de délégation
- considère la santé à travers des notions de mobilité. Ainsi, elle porte un regard sur la vie des tissus et relie la dysfonction avec la diminution de vie d’un ou plusieurs tissus.
- soutient que les modifications de mobilité entraînent des pathologies. Certaines, les fonctionnelles, sont réversibles grâce à des techniques spécifiques.  
- apporte une thérapeutique holistique sur la dysfonction en prenant en compte la totalité des différents types de restrictions de mobilité ainsi que la totalité des interactions entre les différents types de restrictions.

L’OSTÉOPATHE

- diagnostique les tissus, structures en restriction de mobilité.
- intervient pour stimuler, faire réagir le potentiel résiduel de santé de son patient. Il utilise la complicité de son patient.
- implique son patient dans un processus d’autoguérison.
- observe le retour à une mobilité normale, c’est-à-dire aussi proche que possible du potentiel maximal.
- exploite sa conception holistique pour une relation coût-efficacité performante

PARTICULARITÉS OSTÉOPATHIQUES

Actuellement, l’ostéopathe induit via l’implication de son patient la correction de 7 différents types de restriction de mobilité.
 Il s’agit des lésions ostéopathiques, articulaire, vasculaire, lymphatique, viscéro-squlettique, comportementale et tissulaire. À ces lésions s’ajoute une lésion extra-corporelle dite extra somatique.
Vu que l’être humain interagit avec son environnement et évolue dans une position redressée soumise à l’influence de la gravitation, la mobilité représente un potentiel d’adaptation irremplaçable.
L’altération de la mobilité est systématique, lors de séquelles dues à des traumatismes physiques et psychiques.
La seule prise en compte de la restriction de mobilité articulaire se révèle insuffisante pour obtenir une
efficacité thérapeutique. Il s’agit de traiter simultanément l’éventail des restrictions de mobilité, sinon les phénomènes pathologiques persisteront ou réapparaîtront. Ceci est dû au fait, par exemple, que des
restrictions de mobilité articulaires peuvent être générées par d’autres restrictions de mobilité (articulaire ou d’un autre type).
La persistance de restrictions de mobilité, mêmes minimes, peut entraîner des problèmes comportementaux suffisants pour faire perdurer une incapacité de travail. 


Préface de BERNARD EBENEGGER D.O.


La finalité de la médecine ostéopathique est de redonner vie et mouvement à tout le système structurel composant un individu, dans la mesure où les phénomènes observés, palpés, réduits sont réversibles.
Pour ce faire, elle possède un ensemble de techniques spécifiques et un raisonnement basé sur un concept. Comment conceptualiser ce qui touche à la personne humaine sans se heurter aux sensibilités, aux croyances, au scientisme, aux vieilles et grandes questions ?
Depuis des millénaires, l’homme cherche à comprendre la vie, se demande si l’esprit est incarné, qu’est-ce qui est mortel en lui, si le savoir est en évolution, qu’est-ce que le développement psychique, est-ce que l’évolution nous rend semblables, pourquoi y a-t-il une morale qui, bien qu’universelle ne se comprend que dans l’histoire du groupe, de la religion, etc..
Jusqu’à aujourd’hui, les réponses ont appartenu aux philosophes puis aux physiciens. Au-delà de l’apport indéniable de ces visions, il faut actuellement éviter les pièges des élucubrations “new age”,du réductionnisme absurde et du mécanisme simpliste ne voyant dans l’individu qu’interactions moléculaires ou physiologiques en occultant les interactions sociales, linguistiques, sémantiques car notre environnement nous sert de référence quant à nos concepts et nos croyances en tant qu’individu.
Pour comprendre l’esprit, la conscience, la Vie, il est nécessaire de s’appuyer sur une science permettant de relier toutes nos questions à notre histoire d’individu dont l’espèce est en évolution.

LA VIE

Nous l’a-t-on donnée, comment est-elle apparue ? Comment résoudre “l’ultime mystère de la nature car en dernière analyse, nous faisons nous-mêmes partie du mystère que nous essayons de résoudre” (Max PLANK). Toutes les philosophies ont tenté de résoudre ce mystère. Notre époque est très schématiquement, influencée par deux courants d’idées :

D’une part, les idées de causalité et de déterminisme alliées à une vision mécaniste de la science mais ne laissant que peu de liberté aux actions humaines,
D’autre part, une vision animiste, énergétique s’apparentant à une nouvelle religion.

Quels que soient les courants de pensée, les questions restent.

 - Qu’est-ce que la conscience ?
 - L’esprit est-il incarné ?
 - Pourquoi sommes-nous mortels ?
 - Comment conserver une morale puisque nous sommes mortels ?

La vision mécaniste de l’esprit permet de considérer l’individu comme un rouage d’une grande machine, rouage que l’on peut exploiter et changer quand il a des ratés.
La vision animiste débouche souvent sur un fanatisme axé sur les mythes, rejetant la science ou faisant appel à une métascience qui considère que l’esprit et la conscience sont des propriétés directes de la matière.

Comment relier ces deux visions ? Comment comprendre que les êtres humains, issus de séquences d’événements aléatoires mais soumis aux contraintes de leur histoire et de leur morphologie peuvent posséder une si grande liberté d’imagination et de comportement ?

Un être humain est différent d’un objet car il est pourvu d’une intentionnalité, de mémoire, d’une conscience. En effet, chaque homme espère, se choisit des buts, conçoit des plans, influence son environnement, se lie à d’autres individus, à la société, à un concept du “moi”, est influencé par ses affects, sa conscience, ses émotions. Ah, les émotions ! Certainement les phénomènes mentaux les plus complexes car ils se mélangent à tous les autres processus mentaux.
À l’heure actuelle, l’avènement des neurosciences permet d’espérer relier cet amalgame de phénomènes objectifs et de phénomènes subjectifs. La neurobiologie représente le point de passage obligé si l’on veut comprendre les fondements de la personne humaine, de l’individu, non seulement en terme génétique mais en tant que personnalité individuelle, philosophique et dépendante de toutes les informations acquises au cours de son développement et de sa vie en société.

Le cerveau, c’est 1011 cellules, au moins 1015 connexions et des myriades de synapses qui se modifient au cours de l’existence en fonction des déplacements de l’apprentissage, de la société, de la langue et constituant des mémoires symboliques, sémant-ques, signifiantes, permettant à l’individu d’être unique et incomparable à un autre dont les combinaisons moléculaires sont très différentes.

Gérard EDELMANN, neurophysiologiste, écrit que le cerveau et le système nerveux ne sont pas indépendants des états du monde et des interactions sociales, états non déterminés et non figés.

Les réponses du système nerveux dépendent de l’histoire individuelle de chaque système car ce n’est qu’à travers les interactions avec le monde qu’il est possible de sélectionner des réponses adéquates et la diversité des variations entre les différents systèmes nerveux mais aussi au cours du temps pour un même système.
Il semble donc raisonnable, scientifique et porteur d’espérance d’envisager la neurophysiologie comme base du concept propre à la médecine ostéopathique.

L’énorme travail fournit par C. TINTURIER permettra à la médecine ostéopathique d’acquérir sa place au sein de la médecine et de quitter les notions de médecine parallèle, donc alternative.
La justification de la lésion ostéopathique au travers des neurosciences lèvera le carcan de médecine manuelle dans lequel on cantonne la médecine ostéopathique.
Que chaque étudiant, chaque ostéopathe veuille bien confronter ses convictions à ce nouvel éclairage pour permettre à l’ostéopathie d’acquérir sa vraie place au sein de la médecine scientifique.
Sion, septembre 1 993
BERNARD EBENEGGER D.O.


FINALITÉ


FORMER DES OSTÉOPATHES QUI CONNAISSENT LES MÉCANISMES MIS EN JEU DANS UNE RELATION THÉRAPEUTIQUE.

BUTS

CRÉER UN LANGAGE COMMUN.
ASSURER LA COMPRÉHENSION DES MÉCANISMES THÉRAPEUTIQUES.
FAIRE AVANCER NOTRE SCIENCE.
GARDER LES PIEDS SUR TERRE
OBJECTIFS GÉNÉRAUX
L’APPRENTISSAGE DOIT PERMETTRE À L’ÉTUDIANT DE RECONNAÎTRE ET DÉCRIRE LES MÉCANISMES THÉRAPEUTIQUES MIS EN JEU, PRINCIPALEMENT DANS LE CADRE OSTÉOPATHIQUE.

OBJECTIFS SPÉCIFIQUES

(L’ÉTUDIANT DOIT ÊTRE CAPABLE DE :)

S’EXPRIMER EN UTILISANT UN VOCABULAIRE PROPRE A L’OSTÉOPATHIE.
INTERPRÉTER LA DÉFINITION DE L’OSTÉOPATHIE.
EXPLICITER LES PRINCIPES PROPRES A L’E.S .O..
CONNAÎTRE LES NOTIONS SERVANT DE BASE À L’OSTÉOPATHIE.
CONNAÎTRE LE VOCABULAIRE OSTÉOPATHIQUE ET LE TABLEAU DES PHÉNOMÈNES.
CONNAÎTRE LES CRITÈRES DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE.
CONNAÎTRE LES DIFFÉRENTES LÉSIONS OSTÉOPATHIQUES .
CONNAÎTRE LA DÉFINITION DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE (DÉFINITION GÉNÉRALE)
CONNAÎTRE LA DÉFINITION SPÉCIFIQUE DE CHAQUE LÉSION OSTÉOPATHIQUE.
EXPLICITER LES HYPOTHÈSES CONCERNANT LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE ARTICULAIRE (L.O.A .).
CONNAÎTRE LES CRITIQUES DES DIFFÉRENTES HYPOTHÈSES CONCERNANT LA L.O.A .
EXPLICITER LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE TISSULAIRE.
CONNAÎTRE LES PRINCIPES DU TRAITEMENT DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE TISSULAIRE.
EXPLICITER LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE VISCÉRALE EN TENANT COMPTE DES CONCEPTIONS SOUS-JACENTES, DES CRITIQUES DES SYSTÈMES DE TRANSMISSION.
EXPLICITER LES DIFFÉRENTS MODÈLES DE L’OSTÉOPATHIE CRÂNIENNE.
EXPLICITER LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE VASCULAIRE.
EXPLICITER LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE LYMPHATIQUE.
EXPLICITER LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE COMPORTEMENTALE.
CONNAÎTRE LES SIGNES DIAGNOSTIQUES DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE.
CONNAÎTRE LES PRINCIPES DU TRAITEMENT DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE MNÉSIQUE.
EXPLICITER LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE DE L’ORGANISATION MOTRICE.
CONNAÎTRE LES SIGNES DIAGNOSTIQUES DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE DE L’ORGANISATION MOTRICE.
CONNAÎTRE LES PRINCIPES DU TRAITEMENT DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE DE L’ORGANISATION MOTRICE.
CONNAÎTRE L’A PPROCHE CONCEPTUELLE DE LA PATHOLOGIE.
DÉCRIRE LES TESTS D’INHIBITION TISSULAIRES ET DE DÉRIVATION DE FORCE PAR OPPOSITION.
EXPLICITER L’ÉPIDÉMIOLOGIE OSTÉOPATHIQUE


SOMMAIRE


CHAPITRE 1

  • 1.1. INTRODUCTION
  • 1.2. DÉFINITION DE LA NOTION DE CONCEPT
  • 1.3. BUTS DU CONCEPT
  • 1.4. DÉFINITIONS DE L’OSTÉOPATHIE
  • 1.5. HISTORIQUE DES PRINCIPES
  • 1.6. ÉVOLUTION ACTUELLE
  • 1.7. DE LA NÉCESSITE D’UN CONCEPT

CHAPITRE 2
2.1. LES PRINCIPES PROPRES A L’E.S.O.
2.2. SIGNIFICATION DES PRINCIPES

  • 2.2.1. NO 1 : " S " COMME STRUCTURE
  • 2.2.2. NO 2 : " U " COMME UNITÉ
    • 2.2.2.1. LES DIFFÉRENTS VOLETS HOLISTIQUES
      • 2.2.2.1.1. L’IDÉE ORGANISATRICE
      • 2.2.2.1.2. LES INFORMATIONS NON MATÉRIELLES INTER SYSTÈMES
      • 2.2.2.1.3. LES INFORMATIONS MATÉRIELLES INTER SYSTÈMES
        • 2.2.2.1.3.1. Le mode nerveux
        • 2.2.2.1.3.2. Le mode liquidien
        • 2.2.2.1.3.3. Le mode mécanique
        • 2.2.2.1.3.4. LA SOMME DES PARTIES
        • 2.2.2.3.5. LES ASPECTS OSTÉOPATHIQUES
          • 2.2.2.3.5.1. LE DIAGNOSTIC OSTÉOPATHIQUE
          • 2.2.2.3.5.2. LES SOINS OSTÉOPATHIQUES
          • 2.2.2.3.5.3. LA JUSTIFICATION DES RÉSULTATS
          • 2.2.2.1.4. CONCLUSION
  • 2.2.3. NO 3 : " A " COMME AUTOGUÉRISON
    • 2.2.3.1. LA CICATRISATION
    • 2.2.3.2. L’EFFET PLACEBO
    • 2.2.3.3. LES THÉRAPIES SOUS HYPNOSE
    • 2.2.3.4. LA SURVIE DE L’ESPÈCE
  • 2.2.4. NO 4 : " T " COMME TRAITEMENT DE L’INFORMATION

CHAPITRE 3
3.1. NOTIONS SERVANT DE BASE À L’OSTÉOPATHIE

  • 3.1.1. DÉFINITION DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE

3.2. VOCABULAIRE OSTÉOPATHIQUE

3.3. LE TABLEAU DES PHÉNOMÈNES

  • 3.3.1. 1er groupe de la première catégorie
  • 3.3.2. Deuxième groupe de la première catégorie
  • 3.3.3. 3ème groupe de la première catégorie
  • 3.3.4. 1er groupe de la deuxième catégorie

3.4. LES CRITÈRES DE LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE

3.5. LES DIFFÉRENTES LÉSIONS OSTÉOPATHIQUES

3.6. LA SPÉCIFICITÉ DE LʼOSTÉOPATHE

3.7. NOTION DE RÉSULTANTE ET NOMENCLATURE

CHAPITRE 4
4.1. LES HYPOTHÈSES CONCERNANT LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE ARTICULAIRE

  • 4.1.1. LE GRIPPAGE ARTICULAIRE
  • 4.1.2. L’HYPOTHÈSE LIGAMENTAIRE
  • 4.1.3. L’HYPOTHÈSE TISSULAIRE
  • 4.1.4. L’HYPOTHÈSE MUSCULAIRE DE KORR
  • 4.1.5. L’HYPOTHÈSE CHIMIQUE OU FASCIALE
  • 4.1.6. L’HYPOTHÈSE CHIROPRACTIQUE
  • 4.1.7. LʼHYPOTHÈSE DES BIOPOLYMÈRES DE PH. BOURDINAUD
  • 4.1.8. L’HYPOTHÈSE NEUROLOGIQUE DE L’E.S.O
    • 4.1.8.1 LA TRACE MÉMORISÉE
    • 4.1.8.2 LA RÉFÉRENCE ESPACE-TEMPS
    • 4.1.8.3. DÉFINITION

CHAPITRE 5
5.1. LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE TISSULAIRE
5.1.1. ASPECTS THÉRAPEUTIQUES

CHAPITRE 6
6.1. LA DYNAMIQUE VISCÉRALE ET CRÂNIENNE

  • 6.1.1. APPROCHE CRITIQUE DE LA DYNAMIQUE VISCÉRALE ET CRÂNIENNE
  • 6.1.2. Le moteur crânien
  • 6.1.3. La mobilité des Membranes de Tensions Réciproques (M.T.R.)
  • 6.1.4. La mobilité des os du crâne
  • 6.1.4.1. Quelques expériences
  • 6.1.4.2. Quelques faits

6.2. HYPOTHÈSE DE LA DYNAMIQUE VISCÉRALE, CRÂNIENNE, ETC.

  • 6.2.1. Les forces dynamiques
  • 6.2.2. Les contraintes
  • 6.2.3. Les influences de la participation du système nerveux
  • 6.2.4. Conclusion

6.3. LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE VISCÉR0-SQUELETTIQUE

  • 6.3.1. Les lieux possibles de matérialisation de la L.O.V-S.
  • 6.3.2. Définition
  • 6.3.3. Lieu de matérialisation
  • 6.3.4. Lieux de manifestation
  • 6.3.5. Mode dʼinstallation en tant que lésion primaire, secondaire, pertinente !136
  • 6.3.6. Particularités de la L.O.V-S.
  • 6.3.7. Phénomènes lésionnels les plus fréquents

CHAPITRE 7
7.1. LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE VASCULAIRE

CHAPITRE 8
8.1. LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE LYMPHATIQUE

CHAPITRE 9
9.1. LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE COMPORTEMENTALE

9.2. DÉFINITION DE LA L.O. COMPORTEMENTALE

9.3. LES PHÉNOMÈNES LÉSIONNELS ET DIRECTEURS DE LA L.O.C.

CHAPITRE 10
10.1. LA LÉSION OSTÉOPATHIQUE DE L’ORGANISATION MOTRICE

10.2. DÉFINITION

10.3. TRAITEMENT DE LA L.O.O.

CHAPITRE 11
11.1. APPROCHE CONCEPTUELLE DE LA PATHOLOGIE

  • 11.1.1 CAS FAVORABLES
  • 11.1.2. CAS DÉFAVORABLES

CHAPITRE 12
12.1. ASPECTS PRATIQUES

  • 12.1.1. LES TESTS TISSULAIRES
  • 12.1.2. LES TESTS D’INHIBITION
  • 12.1.3. LES TESTS DE DÉRIVATION DE FORCE PAR OPPOSITION
  • 12.1.4. LE TEST HÉMODYNAMIQUE DE CH. WILLIAME ET G. FINET

CHAPITRE 13
13.1. PERSPECTIVES ET RÉSULTATS

  • 13.1.1. LES AXES DE RECHERCHE
  • 13.1.2. NOTIONS DE SENSIBILITÉ, SPÉCIFICITÉ, VALIDITÉ RELATIVE ET VALIDITÉ ABSOLUE
  • 13.1.3. IMPLICATIONS
  • 13.1.4. LE COEFFICIENT KAPPA
  • 13.1.5. L’ENJEU STATISTIQUE POUR UNE VARIABLE QUANTITATIVE DANS DES ÉCHANTILLONS ≥ 30 PATIENTS
  • 13.1.6. VARIABLE QUANTITATIVE DANS DES ÉCHANTILLONS ≤ 30 PATIENTS

GLOSSAIRE

BIBLIOGRAPHIE

EXEMPLES DE SUITES OSTÉOPATHIQUES


MÉMOIRE en PDF


Ostéopathie - concept
Tinturier C.

L’Ostéo4pattes-Site de l’Ostéopathie remercie Tinturier C. et l’E.S.O.C.T. de l’avoir autorisé à publier ce mémoire.


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