Le site d’information médicale et de santé sur internet www.psychomedia.qc.ca rapporte une étude publiée dans la revue Cell Metabolism, réalisée par Gérard Karsenty de l’Unviversité Columbia (NY).
Celle-ci montre que, chez l’humain et chez la souris, la détection d’un danger entraîne la libération par le squelette d’une hormone appelée ostéocalcine qui déclenche les adaptations de type Combat ou Fuite nécessaires pour faire face au péril imminent.
L’ostéocalcine agirait en désactivant le système parasympathique, permettant ainsi l’activité du système sympathique.
Elle suffirait à elle seule à déclencher les adaptations au stress aigu.
L’article plutôt simple et clair, rapporte les propos de G. Karsenty lui-même sur cette découverte qui change ce que l’on pensait connaître de l’adaptation au stress aigu.