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Nature Sciences Santé n°18 - Juillet 2019

samedi 13 juillet 2019 par Nature Sciences Santé

Édito

Ni potion magique ou substance miraculeuse, un complément alimentaire a cependant vraiment une place importante pour notre équilibre et notre santé. Mais, comme son nom l’indique, en complément. En complément d’une bonne alimentation, de la pratique d’une activité physique modérée régulière, bref en complément d’un style de vie sain.

Mais pouvons-nous avoir tous les jours un style de vie sain ?

Le complément alimentaire est utile lorsqu’il est employé à bon escient. En d’autres mots, lorsqu’on le prend pour obtenir des effets qui ont été bien démontrés par la recherche scientifique. Parce que contrairement à ce que certains se plaisent à raconter, les compléments alimentaires ou, plus précisément les substances qui entrent dans leur composition, font l’objet de recherches scientifiques sérieuses. Et j’espère que, s’il en était encore besoin, les entretiens avec les chercheurs que nous publions dans notre magazine vous en ont convaincus.

Employer un complément alimentaire à bon escient, c’est aussi le choisir pour qu’il réponde à des besoins précis de l’organisme face aux contraintes auxquelles il est soumis. Il doit également être compatible avec l’état de santé, et éventuellement, les traitements suivis.

Brigitte Karleskind

Sommaire

Le cordyceps - De l’usage traditionnel à la recherche scientifique

Le cordyceps est un champignon connu de la médecine traditionnelle chinoise depuis plusieurs milliers d’années. Des études cellulaires et sur modèles animaux justifient son usage traditionnel. Les études sur l’homme sont relativement peu nombreuses, et chinoises pour la plupart. Elles portent notamment sur ses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et immunomodulatrices, sur son intérêt pour combattre la fatigue chez les personnes âgées, dans les maladies rénales chroniques ou pour renforcer les performances sportives.

Accompagner l’infertilité masculine - Carole Thiebault, Praticienne de santé, Naturopathe Heilpraktiker

Près de 15 % des couples consultent parce qu’ils rencontrent des difficultés de procréation. Culturellement, l’attention se porte plus sur la femme que sur l’homme. Or on s’aperçoit qu’une infertilité masculine serait impliquée dans la moitié des cas. Cet état de fait explique en partie le trop peu d’études portant sur les causes de l’infertilité masculine et plus encore sur les facteurs d’amélioration. Il nous a paru intéressant de faire un état des lieux des connaissances ou pistes existantes pour accompagner l’infertilité masculine.
L’alimentation, mais aussi la supplémentation ciblée sans oublier quelques plantes aux vertus intéressantes devraient faire partie désormais des réflexes d’accompagnement des hommes confrontés à des problèmes de fertilité.

Mieux résister aux effets du stress

En complément d’une bonne alimentation et de la pratique régulière d’exercices physiques, un certain nombre de nutriments et d’extraits de plantes peuvent favoriser une meilleure résistance aux effets des situations stressantes prolongées. Des plantes adaptogènes, des nutriments qui agissent sur la libération de l’hormone du stress, le cortisol, un apport suffisant en micronutriments essentiels… peuvent aider l’organisme à mieux réagir au stress.

Akkermansia, gardienne de la barrière intestinale - Entretien avec le professeur Patrice Cani

Le professeur Patrice Cani est maître de recherche FNRS et travaille dans l’unité métabolisme et nutrition du Louvain Drug Research Institute de l’UCLouvain, l’université catholique de Louvain, en Belgique. Les chercheurs de cette unité essayent de comprendre comment les bactéries qui se trouvent dans notre intestin communiqueraient avec nos propres cellules et interféreraient avec le développement de maladies métaboliques telles que l’obésité ou le diabète de type II . Ils cherchent également à savoir comment il serait possible, en manipulant ce dialogue, voire ces bactéries, d’améliorer la santé des personnes.
Le professeur Patrice Cani est à l’origine de la découverte des effets bénéfiques d’une bactérie (Akkermansia muciniphila), qu’il qualifie lui-même de gardienne de la barrière intestinale. Il nous emmène sur le chemin qui l’a conduit à cette découverte.

Nous remercions la revue Nature Sciences Santé de nous avoir autorisé à présenter ce numéro de la revue

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